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Suis-je oublié ?

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« Je leur donne la vie éternelle, et ils ne périront jamais » – Jean 10 : 28

Le chrétien ne devrait jamais penser ou parler à la légère de l’incrédulité. En effet, lorsqu’un enfant de Dieu se méfie de Son amour, de Sa vérité et de Sa fidélité, je pense que cela Lui déplaît fortement. Ne pas faire confiance au Père est l´une des plus grandes injustices qui soit car Il est Celui qui est le plus digne de confiance. Pourtant, parfois nous pensons et agissons dans notre subconscient comme si Dieu nous avait pardonné de nos péchés et de notre ancienne vie à seulement 95 %, ou à 98 ou même encore à 99,9999999 %. En faisant ainsi, nous discréditions l’œuvre de la croix et la résurrection de Christ.

Certaines fois nous pensons également que nous sommes oubliés et délaissés. Nous pensons que nous n’avons pas assez de valeur et que Dieu est bien trop occupé à gérer les affaires du royaume plutôt que de prendre soins de nos petits soucis.

 

« Je leur donne la vie éternelle, et ils ne périront jamais »
Jean 10 : 28

 

Très cher ami, il est contraire à toutes les promesses de la précieuse Parole de Dieu que tu sois oublié ou laissé à l’abandon. S’il en était ainsi, pourquoi est-ce que Dieu aurait-Il dit : « Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite ? N’a-t-elle pas pitié du fruit de ses entrailles ? Quand elle l’oublierait, Moi je ne t’oublierai point. » (Esaïe 49 :15) ?

Quelle serait la valeur de la promesse : « Quand les montagnes s’éloigneraient, Quand les collines chancelleraient, Mon amour ne s’éloignera point de toi, Et mon alliance de paix ne chancellera point, Dit l’Eternel, qui a compassion de toi. » (Esaïe 54 :10) ?

Quelle vérité y aurait-il dans les paroles du Christ : « Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous ; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père. » (Jean 10 :28-29) ?

Quelle valeur auraient les doctrines de la grâce ? Elles seraient toutes réfutées si un seul enfant de Dieu devait périr. Quelle valeur accorder à la véracité de Dieu, à Son honneur, à Sa puissance, à Sa grâce, à Son alliance, à Sa nature, si l’un de ceux pour qui Christ est mort et qui ont mis leur confiance en Lui devait néanmoins être rejeté ? Jésus t’a pardonné ! Marche donc dans cette nouvelle vie et sers-Le de tout ton cœur.

 

« Ne pas faire confiance au Père est l´une des plus grandes injustices qui soit car Il est Celui qui est le plus digne de confiance. » 

 

Bannissons donc ces craintes incrédules qui déshonorent tant Dieu. Lève-toi, secoue la poussière sur toi et mets tes beaux vêtements. Rappelons-nous que c’est un péché de douter de Sa Parole, dans laquelle Il t’a promis que tu ne périras jamais. Laisse la vie éternelle qui est en toi s’exprimer dans une joie confiante que tu es sauvé, aimé, choisi, et établi.

Prière : Père, merci parce que j’ai une grande valeur à Tes yeux. Tu m’aimes. Tu m’as tout donné en donnant Ton propre Fils. Je rejette toute forme d’incrédulité liée à mon salut et à Ton amour. Je t’aime et te fais confiance. Dans le merveilleux et beau nom de Jésus. Amen. Gloire à Dieu.

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