« L’ange lui dit alors : N’aie pas peur, Marie, car Dieu t’a accordé sa faveur. Voici : bientôt tu seras enceinte et tu mettras au monde un fils ; tu le nommeras Jésus. » – Luc 1.30-31 À l’heure d’aujourd’hui, n’avons-nous pas besoin de paix sur terre et pour l’humanité ? N’avons-nous pas besoin de l’apparition des anges, de la joie soudaine des bergers et de l’espoir, l’espoir béni d’un Enfant dont le nom même signifie salut ? Nous avons besoin que quelqu’un nous sauve. De cette rancœur, de cette amertume, de cette hostilité. Nous sommes dans une société clivante, c’est un siècle du « pour ou contre ». Un monde où l’on doit soutenir une cause coûte que coûte. Gauche ou Droite. Complot ou vérité. Développement technologique ou retour aux sources. Bref… tant de débats stériles qui divisent.
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« L’ange lui dit alors : N’aie pas peur, Marie, car Dieu t’a accordé sa faveur. Voici : bientôt tu seras enceinte et tu mettras au monde un fils ; tu le nommeras Jésus. » |
Voici ce que je soutiens : le Bébé dans la crèche. Dieu dans une étable. Dieu avec un cordon ombilical. Si humain qu’Il tète du lait, si divin qu’Il est adoré par les anges. Une fille aux yeux écarquillés qui a eu un bébé mais qui n’a jamais eu de relations sexuelles. Un Joseph stupéfait qui s’est frayé un chemin dans l’histoire la plus improbable de l’Histoire. « Appelez-le Jésus », leur dit l’ange, car ce nom signifie « Le Seigneur est le salut » et ce Seigneur, Jésus, est entièrement tourné vers le salut. Le salut du péché, de la culpabilité, de la honte, de la mort et, oui, de la polémique politique et sociétale. Et, a ajouté Gabriel avec ce qui aurait pu être un sourire, « Il sera grand ». Assez grand pour faire taire les tempêtes, chasser les démons, guérir les malades, libérer quelques tombes, y compris la sienne. Il sera grand. N’avons-nous pas besoin d’un grand Roi ? Ce monde est si chaotique, la vie est si fragile.
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« Appelez-le Jésus », leur dit l’ange, car ce nom signifie « Le Seigneur est le salut ».
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Pour ou contre ? Je suis pour l’espoir de Noël. C’est une chose d’avoir une opinion, c’en est une autre de se battre. Raisonnons ensemble. Travaillons ensemble. Et si la discussion échoue, que l’amour réussisse. Si l’amour couvre une multitude de péchés, ne peut-il pas couvrir une multitude d’opinions? Nous avons besoin d’un intermezzo de calme dans cette cacophonie d’opinions. Heureusement, nous en avons un. Il s’appelle Noël. Il s’appelle Jésus-Christ de Nazareth. |
Prière : Père, remplis-moi de Ta paix. Que la paix de Christ dépasse tous mes raisonnements. Amen.
Prière de l’Avent (par Kenneth E. Hagin) : Père céleste, nous venons à Toi. Nous venons au nom de Jésus – pas notre nom, pas notre puissance, pas notre sainteté, pas même notre bonté – mais nous venons au nom de Jésus, lavés dans son sang, revêtus de sa justice. Nous venons parce que tu nous as dit de venir. Dans Ta Sainte Parole, Tu nous as dit de venir hardiment au trône de la grâce afin d’obtenir de l’aide et la grâce de nous aider au moment où nous en avons besoin. Merci, Père. Ta Parole nous exhorte à prier, à intercéder, à supplier et à rendre grâce à TOUS ceux qui détiennent l’autorité, afin que les chrétiens – les croyants – mènent partout une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté.
