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La naissance du Roi

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« Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d’Emmanuel. » – Esaïe 7 : 14

Aujourd’hui, je vous propose de descendre à Bethléem et, en compagnie des bergers émerveillés et des mages en adoration, de contempler Celui qui est né roi des Juifs et de Le chanter : « Un enfant nous est né, un fils nous est donné ». Jésus est Yahweh incarné, notre Seigneur et notre Dieu, mais aussi notre frère et notre ami.

Avez-vous déjà médité sur Sa conception miraculeuse ? C’était une chose inouïe auparavant, et inégalée depuis, qu’une vierge conçoive et mette au monde un Fils. La première promesse était la suivante : « La descendance de la femme » (lire Genèse 3 :15), et non la descendance de l’homme. Puisque Ève a ouvert la voie au péché ce qui a engendré la perte du Paradis, c’est la petite Marie, et elle seule, qui devait inaugurer le regain du Paradis.

 

« Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d’Emmanuel. »
Esaïe 7 :14

 

N’oublions jamais l’humilité de Ses parents. Sa mère a été décrite simplement comme « une vierge », pas une princesse, ni une prophétesse, ni une déesse de grande envergure. Il est vrai que le sang des rois coulait dans ses veines ; son esprit n’était pas non plus faible et inculte, car elle pouvait chanter avec beaucoup de douceur un cantique de louange ; mais combien humble était sa position, combien pauvre était l’homme à qui elle était fiancée, et combien misérable était le logement offert au Roi nouveau-né !

 

« Quel autre Roi descend de Son trône de gloire pour mourir pour Ses enfants ? » 

 

Emmanuel, Dieu avec nous dans notre nature, dans notre douleur, dans notre vie, dans notre punition, dans notre tombe, et maintenant avec nous, ou plutôt nous avec Lui, dans la résurrection, l’ascension, le triomphe et la splendeur du second avènement. Alléluia ! Quel autre Roi descend de Son trône de gloire pour mourir pour Ses enfants ?

Prière : Seigneur, merci d’être venu au monde. Merci d’avoir tout délaissé afin de tout me donner. Christ, Tu es ce tout dont je parle. Je T’adore. Amen.

Prière de l’Avent (par l’évangéliste Reinhard Bonnke) : Que mes lèvres mortelles prêchent l’Évangile éternel, et que mes mains mortelles construisent Ton royaume éternel – à la gloire du Père, Amen.

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